Le Droit de “mal écrire”. Quand les auteurs romands déjouent le français de Paris, Zoé, «Critique», 1998.

A travers les exemples de Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), de Rodolphe Töpffer (1799-1846), de C.F. Ramuz (1878-1947) et de nombreux autres auteurs, tous formés dans l’espace linguistique de la Suisse française, cet essai enquête sur le rapport des écrivains romands au français standard, le « français de Paris ». Sur ce terrain s’est construite une différence culturelle souvent revendiquée. Le propos s’élargit aux tentatives du même type rencontrées dans d’autres pays francophones non français.Par diverses inventions stylistiques, les écrivains des marges de l’Hexagone ont su parfois réanimer la langue littéraire, en déjouant les critiques puristes.

Avant-propos

Jérome Meizoz, «Le droit de « mal écrire »», Actes de la recherche en sciences sociales, Année 1996, Volume 111, Numéro 111-112 , pp. 92-109.

Table des matières

  • Le droit de « mal écrire » 1
  • AVANT-PROPOS 8
  • CHAPITRE PREMIER. La défiance de la langue 16
  • CHAPITRE DEUX. Les « provinciaux » de Jean-Jacques Rousseau 28
  • CHAPITRE TROIS. Töpffer exotique 38
  • CHAPITRE QUATRE. C. F. Ramuz contre les « échappés de Sorbonne » 56
  • CONCLUSION. Exotisme rétribué ou miracle des capitales ? 76
  • NOTES 80
  • BIBLIOGRAPHIE SÉLECTIVE 96

 

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