Jours rouges

Récit, En bas, 2003
Jours rouges n’est pas un livre d’historien. Plutôt la libre évocation du parcours militant de Paul Meizoz (1905-1988) dans les luttes sociales des années 1930 à 1950. Envoyé comme travailleur industriel en France, il y est politisé en 1924. Avec ses amis, il tente de syndiquer les mineurs de la première Dixence, s’implique en faveur des réseaux de combattants espagnols en 1936. Polémiste et animateur d’un « Cercle d’études sociales », il se lie à Jules Humbert-Droz à son retour d’URSS, invite Léon Blum à s’exprimer dans le Valais de l’après-guerre.
Dans les marges de la grande Histoire, Paul poursuit sa vie « minuscule ». Elle recèle pourtant une conviction peu commune, une conscience des interdépendances, une ferveur qui renaît dans le militantisme politique des mouvements sociaux actuels.
Jours rouges – au pays du mythe alpestre, des bergers gri-més pour la photo – voudrait réagir au trou de mémoire littéraire dont pâtissent les récits de la condition ouvrière.

 

On en parle…

André Gavillet, « Le livre : Itinéraire d’un militant valaisan », Domaine Public, 13 juin 2003. pdf.

 

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